Recours collectif contre le cartel des camions

Nous réclamons le remboursement de votre argent

Votre demande de dommages et intérêts
sans risque et sans effort

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Notre première action collective, incluant au total 15 000 camions, est en cours devant le Tribunal d'Amsterdam depuis 2021. Vous trouverez ci-dessous des informations relatives à l'état de la procédure.

Nous mettons actuellement en place une deuxième action collective parallèle contre le cartel des constructeurs de camions. Ceci est possible du fait de la décision de la Cour de Justice de l'Union européenne qui a confirmé le 1er février 2024 que le constructeur Scania a bel et bien participé au cartel. Par conséquent, toutes les entreprises qui ont acheté des camions (de TOUTES les marques du cartel, pas seulement SCANIA) dans l'Union européenne entre 1997 et 2013, mais qui n'ont pas encore agi en justice, peuvent se joindre à notre deuxième action collective.

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Votre rémunération

En cas de succès, vous pourriez benéficier de plus de 10.000 euros par camion.

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Aucun risque

Notre recours collectif est financé à 100%. Vous ne prenez aucun risque financier.

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Aucun effort

Nous gérerons la totalité du processus. Vous n'aurez rien à faire.

Aperçu

Contexte

Selon les conclusions de la Commission européenne, les principaux constructeurs européens de camions ont mis en oeuvre une entente illégale de 1997 à 2011. Il y a donc de fortes raisons de penser que toutes les entreprises qui ont acheté ou loué des camions lourds ou moyens aux constructeurs Daimler (Mercedes Benz), MAN, Volvo/Renault, DAF, Iveco ou Scania pendant cette période (ou même au-delà en raison des effets subséquents de l'entente) ont payé des prix trop élevés. Ces entreprises seraient donc en droit de réclamer des dommages et intérêts importants à ces constructeurs, d'un montant pouvant s'élever à plus de 10.000 euros (plus intérêts) par camion.

Notre première action collective aux Pays-Bas

Nous avons déposé en 2021 un premier recours collectif auprès de la Cour de justice néerlandaise, portant sur 15 000 camions. Le Tribunal d'Amsterdam est considéré comme l'un des tribunaux les plus expérimentés dans le cadre des procédures en dommages et intérêts en matière de cartels au sein de l'Union européenne. De nombreuses plaintes y sont déjà en cours contre le cartel des constructeurs de camions, pour un total de plusieurs centaines de milliers de camions.

Notre deuxième action collective

Le 1er février 2024, la Cour de Justice de l'Union européenne au Luxembourg a confirmé que Scania avait également participé au cartel des constructeurs de camions. Dans la mesure où la prescription relative aux requêtes en dommages et intérêts a été suspendue pendant la procédure en cours au Luxembourg (et qu'elle n'a ainsi recommencé à courir que depuis le 1er février 2024), nous pouvons à présent mettre en place une seconde action collective contre le cartel des constructeurs de camions. Ceux qui ont acheté des poids lourds dans l'Union européenne entre 1997 et 2011 (ainsi que pendant une période de suivi s'étendant jusqu'en 2013 au plus tard) peuvent participer à l'action - et ce indépendamment de la marque de camion (c'est à dire pas seulement Scania mais toute marque figurant dans l'entente) car chaque membre du cartel est responsable solidairement des dommages causés par l'ensemble du cartel.

Pour obtenir plus d'informations sur la participation à notre deuxième action collective, vous pouvez vous inscrire ici.

Sans risque pour les entreprises touchées

Notre Fondation préfinance tous les frais de procédure et prend en charge la gestion de l'ensemble du processus.

Ce n'est qu'en cas de succès que la Fondation touche une commission et qu'il y aura, pour chaque société concernée, une participation partielle aux coûts. Dans tous les cas, il n'y a donc pas de risque financier pour ceux qui se joignent au recours collectif.

Notre offre

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Etat d'avancement de la procédure de notre première action collective

Le Tribunal d'Amsterdam a décidé de juger notre premier recours collectif dans le cadre de la quatrième vague d‘actions en dommages et intérêts contre le cartel des constructeurs de camions. À l'heure actuelle, il est prévu que le Tribunal rende un jugement sur le fond (c'est à dire savoir si les acheteurs de camions ont subi un préjudice du fait du cartel) pour la première vague, en 2024. Les procès de la première vague passeront ensuite à la deuxième étape de la procédure qui consiste à déterminer le montant des dommages et intérêts.

Nous partons du principe qu'une décision sur le fond interviendra rapidement pour notre quatrième vague, c'est-à-dire en 2024, de telle sorte que notre action collective puisse également entrer dans la procédure sur l‘évaluation du montant. Dans ce contexte, nous nous attendons actuellement à ce que notre recours collectif soit clôturé en 2025 ou 2026. Si le cartel fait appel de la décision, la conclusion pourrait être retardée de deux années supplémentaires. Mais il est aussi tout à fait possible que la procédure puisse être conclue beaucoup plus tôt par des accords transactionnels avec les membres du cartel (c'est-à-dire par une indemnisation volontaire de leur part).

Dans tous les cas, une durée prolongée de la procédure entraîne également des indemnités plus élevées pour nos participants, étant donné que les dommages initiaux continuent à produire des intérêts (considérables) pour chaque année du procès.

En raison d'une injonction procédurale du Tribunal d'Amsterdam, nous ne pouvons pas élargir notre plainte à de nouveaux participants ou nouveaux camions depuis fin décembre 2021. Cependant, nous sommes en train de mettre en place une seconde action collective pour laquelle vous pouvez vous inscrire si vous n'avez pas encore agi.

Le cartel de camions

Dans deux décisions en juillet 2016 et en septembre 2017, la commission européenne a imposé des amendes record totalisant environ 3,8 milliards d'euros aux principaux constructeurs européens de camions Daimler/Mercedes Benz, MAN, Volvo/Renault, DAF, Iveco et Scania.

Selon les conclusions de la Commission européenne, entre 1997 et le début de 2011 environ, les constructeurs ont conclu des accords contraires aux règles de concurrence concernant les prix et les augmentations des prix bruts des camions lourds et moyens qu'ils produisent et vendent dans l'espace économique européen. En outre, les membres du cartel se sont entendus sur le calendrier et la répercussion des coûts des normes antipollution Euro 3 à 6.

MAN avait dénoncé le cartel en tant que témoin principal. À l'exception de Scania, tous les constructeurs de camions ont admis les accusations.

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We are today imposing the highest fines ever for a single cartel. [...] This cartel concerns a very large market and continued for a long period of time.”

“Today’s decision is important for safeguarding real competition in the trucks sector in Europe. The fact that these truckmakers took part in a cartel [...] is a clear infringement of EU competition rules.
— Margrethe Vestager, EU-Kommissarin für Wettbewerb

La Fondation

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La Fondation Unilegion Truck Claims est une organisation néerlandaise à but non lucratif dont le siège est à Amsterdam. La Fondation a été créée pour suivre, par voie judiciaire ou extra-judiciaire, des demandes d'indemnisation ("Claims") de la part d'acheteurs de camions suite à l'entente illicite des constructeurs.

Nous travaillons en étroite collaboration avec des associations économiques et industrielles européennes afin de former l'alliance la plus large possible.

Environ 750 entreprises se sont jointes à l'action collective de la Fondation.

Ce n'est qu'en cas de succès que la Fondation perçoit une commission. Les entreprises lésées par le cartel ont pu se joindre au recours collectif sans aucun risque financier. Tous les frais liés à la mise en oeuvre des revendications sont préfinancés par la Fondation via des organismes externes de financement. En tant qu'organisation à but non lucratif, la Fondation ne génère aucun profit.

Direction : Michael Gramkow, Dr. Johannes Trissler

Notre cabinet d'avocats

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En raison des conclusions détaillées de la Commission européenne en matière de non-respect des règles et du fait que presque tous les constructeurs ont admis leur participation à l’entente, cette affaire offre de très bonnes perspectives de succès pour l’obtention de dommages et intérêts pour les entreprises lésées.
— Hans Bousie, Partner bureau Brandeis

La Fondation est représentée par l'équipe du cabinet d'avocats bureau Brandeis. Le cabinet est déjà impliqué dans l'une des plus grandes actions en justice concernant le cartel des constructeurs de camions, où il représente plusieurs dizaines de milliers de camions appartenant à des centaines d'entreprises lésées.

Brandeis est le plus grand cabinet d'avocats néerlandais qui se consacre à 100 % sur ce procès et qui possède une vaste expérience en matière d'indemnisation des dommages causés par les cartels. Cette équipe de renom est internationalement reconnue et souvent récompensée pour son excellence et ses résultats. Le cabinet d'avocats Brandeis publie régulièrement le Cartel Damages Quarterly Report, qui donne un aperçu des plus importantes affaires de dommages et intérêts en matière de cartel en Europe.

L'équipe est dirigée par Hans Bousie et Louis Berger.

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Commentaire de la presse

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Il apparaît que ce sont les camionneurs français qui ont payé le prix fort. Les preuves rassemblées par les services antitrust de la Commission montrent que « tous les membres du cartel étaient impliqués dans des discussions et souhaitaient profiter de l’introduction de l’euro [en 2001]. Ils ont estimé que la France avait les prix les plus bas et se sont mis d’accord sur le fait qu’ils devaient être augmentés
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Les conséquences de la condamnation [par la Commission européenne] pour avoir agi en cartel se révèlent bien plus lourdes qu’anticipé. Désormais ce sont les clients qui demandent réparation. Après quinze années d’ententes (de 1997 à 2011) prouvées sur les prix, la bombe à retardement a explosé en juillet 2016 à Bruxelles. [...] Après les amendes, voici donc le temps des dommages et intérêts.
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Déjà puni par Bruxelles, le “cartel des camions” fait face à ses clients. L’indemnisation des entreprises victimes de l’entente sur les prix de vente des constructeurs de poids lourds représenterait des milliards d’euros rien qu’en France.

Foire aux questions

 

À propos de la fondation

Comment fonctionne la fondation ?

En tant qu'organisation à but non lucratif, la fondation poursuit un objectif caritatif, à savoir le soutien des acheteurs de camions victimes du cartel des constructeurs des camions. La fondation ne génère aucun profit.

Toute forme de financement est utilisée exclusivement pour l'objectif de la fondation. Il s'agit principalement de la représentation juridique par le cabinet d'avocats mandaté, des experts et des frais de justice. D'autres fonds sont utilisés pour la gestion des participants et leur information.

Le financement du recours collectif et la gestion des participants sont assurés par des prestataires de services européens et suisses dans le domaine de financement des litiges.

La Fondation dispose d'une équipe très expérimentée en droit de la concurrence et de spécialistes de la logistique. Les participants au recours collectif sont principalement situés en Europe de l'Ouest, notamment en Allemagne, en France, en Grèce et en Autriche.

Que propose la fondation ?

Nous vous proposons une procédure judiciaire éprouvée aux Pays-Bas, rapide et efficace, notamment par rapport aux procédures de recours collectifs en Allemagne et dans d'autres pays de l'UE.

Des requêtes pour plusieurs centaines de milliers de camions en provenance de toute l'Europe sont déjà en cours à Amsterdam et sont traitées par le Tribunal d'Amsterdam dans le cadre de différentes vagues de procès. Notre recours collectif actuel représente déja plus de 15.000 camions.

L'action collective d'Unilegion est menée par bureau Brandeis, l'un des cabinets d'avocats les plus réputés en droit de la concurrence en Europe.

Pourquoi la fondation porte-t-elle plainte à Amsterdam ?

Le système judiciaire néerlandais a été désigné trois fois au cours des cinq dernières années par le World Justice Project comme le système judiciaire le plus efficace (WorldJusticeProject) et est également considéré comme le meilleur endroit pour les procédures de dommages et intérêts relatives aux cartels (TheLawReviews).

Outre les réglementations favorables basées sur le droit communautaire (également applicable en France), les Pays-Bas permettent depuis longtemps de faire valoir des demandes en dommages et intérêts de manière groupée.

Par ailleurs, les Pays-Bas disposent de règles de prescription plus favorables, de sorte qu'il y a des chances de faire valoir avec succès des demandes concernant le tout début de l'entente (c'est-à-dire depuis 1997).

Notre action en justice est menée par l'un des cabinets d'avocats les plus réputés des Pays-Bas, spécialisé dans les demandes de dommages et intérêts pour violation du droit de la concurrence.

Pourquoi supposez-vous que la coopération avec une fondation aux Pays-Bas soit plus rapide que les recours collectifs dans d'autres pays?

Aux Pays-Bas, la recevabilité des modèles des plaintes collectives est déjà généralement reconnue, de sorte que nous pouvons commencer notre procédure directement avec la clarification du contenu.

Pourquoi ai-je besoin d'un recours collectif au lieu de confier l'affaire à mon propre avocat ?

Une action collective n'a de chances d'aboutir que si elle est prise en charge par des avocats spécialisés et des économistes de la concurrence. De tels spécialistes sont très chers (généralement 6 à 7 chiffres pour une procédure), c'est pourquoi une plainte isolée ne vaut généralement la peine qu'à partir de montants de dommages et intérêts très importants.

Les actions en justice intentées par de petits acheteurs individuels contre le cartel des camions et qui ont échoué jusqu'à présent, ont souvent été menées par des cabinets d'avocats non spécialisés. De plus, si vous passez directement par un avocat, vous devez généralement payer d'avance les frais élevés. En revanche, si vous vous joignez à la procédure judiciaire que nous préfinançons, vous ne supportez aucun risque financier.

À propos du procès

Quels sont les avantages à collaborer avec la Fondation unilegion ?

  1. Le procès est en cours aux Pays-Bas, où les actions collectives sont autorisées et courantes depuis longtemps.

  2. Le Tribunal d'Amsterdam est expérimenté, la durée de la procédure est généralement plus courte qu'en France et les frais sont moins élevés. Par conséquent, Unilegion peut offrir à ses clients une commission de succès réduite.

  3. Les jugements d'Amsterdam sont aussi « efficaces » et exécutoires que les jugements des autres pays de l'UE. À cet égard, il existe également des avantages significatifs par rapport à un procès au Royaume-Uni, où les incertitudes liées au Brexit ne peuvent pas être anticipées.

  4. Les règles de prescription aux Pays-Bas sont plus généreuses, de sorte qu'il y a des chances de faire valoir avec succès des demandes concernant le tout début de l'entente (c'est-à-dire depuis 1997). Aux Pays-Bas, les dommages et intérêts en cas d'entente illégale génèrent des intérêts - et des intérêts sur les intérêts. Il en résulte une valorisation très significative, qui peut atteindre 100% ou plus du montant du dommage pour les acquisitions précoces.

  5. Aux Pays-Bas, les dommages et intérêts en cas d'entente illégale génèrent des intérêts - et des intérêts sur les intérêts. Il en résulte une valorisation très significative, qui peut atteindre 100% ou plus du montant du dommage pour les acquisitions précoces.

  6. La plainte est gérée par l'un des cabinets d'avocats les plus renommés des Pays-Bas, spécialisé dans les demandes d'indemnisation en matière de droit de la concurrence.

  7. Le Tribunal d'Amsterdam est déjà en train de traiter, par vagues successives, plusieurs dizaines d'actions judiciaires impliquant plus de 100.000 camions. En regroupant ces actions en vagues de plaintes, le pouvoir de négociation des victimes contre les constructeurs de camions est renforcé.

  8. L'action en justice est financée par une société européenne de financement de litiges disposant d'une équipe très expérimentée et offrant des conditions intéressantes.

Est-il encore possible de participer à l'action collective ?

Notre première action collective a été portée devant les tribunaux à Amsterdam en 2021. Il n'est plus possible d'y participer.

Cependant, nous proposons désormais de prendre part à notre deuxième action collective. Ceci est possible car la Cour de Justice de l'Union européenne a confirmé le 1er février 2024 que Scania avait pris part au cartel des constructeurs de camions. Ainsi, les entreprises qui n'ont pas encore agi en justice peuvent participer à cette deuxième action collective - si elles ont acheté des camions de n'importe quelle marque du cartel (donc pas uniquement Scania) pendant la période de l'entente entre 1997 et 2011 ainsi que pendant une période de suivi (jusqu'en 2013 au plus tard). Pour cela vous pouvez vous inscrire sans engagement ci-dessous.

Quand vais-je recevoir une indemnisation ?

Les actions en dommages et intérêts dans le domaine du droit de la concurrence durent généralement entre trois et six ans. Toutefois, dans de nombreux cas, un accord est conclu bien plus tôt (notamment après l'expiration du délai de prescription, c'est-à-dire lorsque les membres du cartel ne doivent plus s'attendre à d'autres actions en justice), de sorte qu'il n'est pas nécessaire de poursuivre le procès jusqu'à la décision finale du tribunal. En tout état de cause, nous profiterons du fait que la première vague de plaintes, contre le cartel des constructeurs camions aux Pays-Bas, est en cours depuis plusieurs années déjà.

 

Inscription sans engagement
à notre deuxième action collective

Notre première action collective contre le cartel des constructeurs de camions est déjà en cours devant le Tribunal d'Amsterdam depuis 2021. Cependant, nous offrons actuellement la possibilité de participer à notre deuxième action collective.

Pour cela vous pouvez vous inscrire ci-dessous.

 
 

Critères d'acceptation

  • Véhicules neufs des marques Daimler/Mercedes, MAN, Scania, DAF, Iveco, Volvo/Renault

  • Achat classique ou leasing (LOA/LLD)

  • Acquis entre le 01/01/1997 et le 31/12/2013